Initié par le professeur Hassan Tazi, le célèbre chirurgien esthétique, un groupe de médecins et de spécialistes ont lancé une nouvelle méthodologie intitulée “SOS Covid à domicile” pour contrôler la pandémie, sous le thème “Le succès est soit collectif ou n’est pas”.
Il s’agit d’une méthodologie préventive complète basée sur un programme scientifique efficace dans le but de coexister avec le virus, en respectant en même temps l’équilibre sociale et économique général.
Selon les spécialistes, cette méthodologie offre également des services sanitaires et des soins médicaux à domicile, dont des analyses, test de dépistage, scanner, appareil d’oxygène et tous les tests et traitements qui garantissent la prise en charge du malade chez lui. Il pourrait être transporté aux centres hospitaliers de suivi au cas où ce serait nécessaire, ce qui constitue un important dispositif de sécurité pour contrôler la pandémie.
Cette méthodologie permet de se déplacer au domicile du malade afin de confirmer sa maladie, tester les potentiels contaminés par le virus, déterminer le type de traitement à suivre et informer les autorités au cas où la contamination est confirmée. Les médicaments sont donc fournis et le suivi est effectué à distance.
L’application de cette nouvelle méthodologie préventive a commencé par Casablanca, où le nombre des contaminés est plus élevé.
Cette initiative, soutenue par les responsables, les médecins, les scientifiques, les influenceurs et les spécialistes des différents domaines, est une alternative efficace et garantie pour contrôler le développement de la situation épidémiologique en coopération complète avec les autorités compétentes du ministère de la santé et la direction territoriale.
Les participants du séminaire diffusé sur les différentes plateformes des réseaux sociaux ont recommandé d’accélérer cette initiative au niveau national, dans le cadre du partenariat des secteurs privés et publics et de suggérer un exemple à suivre dans le cadre de la coopération sud-sud.
Les malades du Covid sont désormais traités chez eux où accueillis par les cliniques privées qui leur ont récemment ouverts les portes, alors que cette tâche se limitait aux hôpitaux publics uniquement.
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